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QUI SOMMES-NOUS ?

Membres étudiant.e.s de 3e cycle

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Boulebsol, Carole

Carole Boulebsol est candidate au doctorat en sciences humaines appliquées de l’Université de Montréal sous la direction de Marie-Marthe Cousineau (UdeM) et de Sylvie Lévesque (UQAM). Elle est récipiendaire 2020 des bourses doctorales du CRSH-Vanier et de la Fondation Pierre Elliott Trudeau. Son projet de thèse porte sur la coercition reproductive et s’inscrit dans les travaux du laboratoire de recherche sur la santé reproductive et les violences dirigé par Sylvie Lévesque.

Carole Boulebsol détient un baccalauréat en sociologie de l’Université Pierre Mendes France, une maîtrise en sociologie de l’Université Pierre Mendes France ainsi qu’une autre maîtrise en travail social de l’Université du Québec à Montréal, avec une concentration en études féministes (IREF). Elle est également titulaire d’un DESS en santé mentale de l’Université Téluq.

Ses principaux intérêts de recherche portent sur les différentes formes de violence envers les femmes, sur les potentiels de l’intersectionnalité en recherche et en pratique féministes, sur la santé mentale et sur les migrations. Parallèlement, en tant que chargée de cours et étudiante-salariée, elle s’intéresse aux conditions de la formation universitaire à la recherche, aux pratiques d’encadrement des étudiant.e.s et aux espaces de solidarité entre doctorant.e.s. Depuis plusieurs années, elle s’implique dans différents projets de recherche partenariale et féministe. Enfin, elle est administratrice pour quatre organisations sans but lucratif : le Collectif pour l’approche transculturelle dont elle est co-fondatrice, les Maisons de l’Ancre et Relais femmes dont elle préside les conseils d’administration et enfin l’ACFAS, pour laquelle elle préside le comité de la Relève.

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Brunet, Mélanie

Mélanie Brunet est étudiante au doctorat à l’Université d’Ottawa sous la supervision de Simon Lapierre. Travailleuse sociale de formation, elle a travaillé pendant 10 ans avec des enfants. Sa thèse de doctorat porte sur les enfants victimes de violence conjugale et ayant un diagnostic de TDAH. Mélanie est membre du Collectif de recherche féministe anti-violence (FemAnVi) depuis 2019 et coordonne le projet de recherche sur La violence conjugale en période pandémique ainsi que l’évaluation du programme Compte sur moi. Ses principaux intérêts concernent les enfants victimes de violence conjugale, l’agentivité des enfants, le TDAH, la violence envers les enfants et la violence conjugale.

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Couture, Stéphanie

Stéphanie Couture est candidate au doctorat en sexologie à l’Université du Québec à Montréal sous la direction de Mylène Fernet et Martine Hébert. Son projet de thèse porte sur l’assertivité sexuelle au sein des relations amoureuses à l’adolescence. Elle détient un baccalauréat en sexologie ainsi qu’une maîtrise en sexologie concentration recherche-intervention de l’Université du Québec à Montréal. Ses principaux intérêts de recherche sont la sexualité, les relations amoureuses et les violences exercées en contexte de relations intimes chez les adolescent.e.s. Elle est également détentrice des bourses de doctorat du CRSH et du FRQSC. 

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Gagnon-Dufresne, Marie-Catherine

Marie-Catherine Gagnon-Dufresne est candidate au doctorat en santé publique (option santé mondiale) à l'École de santé publique de l'Université de Montréal. Elle est dirigée par Kate Zinszer (Université de Montréal) et Neil Andersson (Université McGill). Pour son projet de thèse, elle adopte une approche participative et décoloniale pour identifier les facteurs influençant la participation des communautés dans la recherche en santé mondiale à Dhaka, au Bangladesh. Elle détient un baccalauréat en études féministes et science politique de l'Université McGill ainsi qu'une maîtrise en santé publique de l'Université de Montréal. Ses principaux intérêts de recherche sont la recherche participative et partenariale, l'empowerment communautaire comme levier en santé mondiale, les inégalités sociales de santé, et la santé des populations autochtones. Marie-Catherine est coordonnatrice du volet autochtone de la cellule Trajectoires portant sur les violences faites aux femmes autochtones dans la communauté Mi'gmaq de Listuguj en Gaspésie. 

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Grenier, Katia

Katia Grenier est candidate au doctorat en sciences humaines appliquées de l’Université de Montréal. Son projet de thèse porte sur les pratiques de soi et l’émancipation des femmes. Elle détient un baccalauréat et une maîtrise en travail social de l’Université du Québec en Outaouais. Ses principaux intérêts de recherche sont l’itinérance au féminin et les pratiques émancipatrices des femmes. Elle est récipiendaire de la bourse d’excellence Isabelle Boisvenu (2019), de la bourse conjointe de la Fondation de la famille Joey et Odette Basmaji et Trajetvi (2019), de la bourse d’excellence de l’Entente entre le SHA et la FESP (2020), et de la bourse de doctorat du CRSH (2020-2023). Katia Grenier est également présidente de l’Association des étudiants et étudiantes en sciences humaines appliquées de l’Université de Montréal (AGEESHA) et s’implique auprès de la communauté étudiante de son programme.

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Lagorse, Andréa

Andréa Lagorse est candidate à la doctorat en criminologie de l’Université de Montréal. Son projet de mémoire portait sur les expériences des femmes en contexte sectaire. Elle est dirigée par Marie-Marthe Cousineau ainsi que Marie-Andrée Pelland. Elle détient un baccalauréat en criminologie de l’Université de Montréal. Ses principaux intérêts de recherche sont les expériences des femmes en contexte de vulnérabilité, notamment au sein de relations sectaires ou de violence entre partenaires intimes, ainsi qu’au réseau social de ces femmes. Elle est également impliquée dans plusieurs projets en partenariat avec SAS-Femmes et Trajetvi, notamment sur l’entourage des femmes victimes de violence conjugale, les initiatives socio-judiciaires en violence conjugale au Québec ainsi que sur l’efficacité du partenariat entre la recherche et les milieux de pratique. Au cours de sa maîtrise, elle a reçu deux bourses pour son implication ainsi que ses résultats scolaires. 

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Souffrant, Kharoll-Ann

Kharoll-Ann Souffrant est candidate au doctorat en service social à l’Université d’Ottawa. Son projet de thèse porte sur le mouvement québécois #MoiAussi (#MeToo) du regard de militantes afroféministes. Elle détient également un baccalauréat en service social, une maîtrise en service social et études de genre de l’Université McGill. Ses intérêts de recherche portent sur l’intersection entre le genre, la misogynoire, les violences sexuelles et le militantisme féministe. Elle est l’autrice de l’essai, Le privilège de dénoncer, paru aux Éditions du remue-ménage en 2022. Enfin, elle est chargée de cours au Département de criminologie de l’Université d’Ottawa et à l’École de travail social de l’Université de Montréal.

 

Crédit photo : Chloé Charbonnier pour les Éditions du remue-ménage

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