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QUI SOMMES-NOUS ?

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Carole Boulebsol

Carole Boulebsol est travailleuse sociale et professeure au département de Travail social de l’Université du Québec en Outaouais (UQO) (Campus St-Jérôme). Elle cumule près d’une quinzaine d’années d’expérience en intervention et en recherche. Ses intérêts pratiques et théoriques touchent les différentes formes de violences envers les femmes, la santé mentale, les migrations, la recherche partenariale, l’intervention en travail social de groupe, les approches anti oppressives ainsi que la formation de la relève en recherche et en intervention psychosociale. Depuis plusieurs années, elle s’implique dans différents projets de recherche partenariale et féministe. 

Travailleuse sociale et professeure au département de Travail social de l’Université du Québec en Outaouais (UQO)

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Professeure agrégée au programme d'ergothérapie de l'École de réadaptation de

l'Université de Montréal

Carolina Bottari

Dre Bottari est professeure agrégée au programme d’ergothérapie de l’École de réadaptation de l’Université de Montréal, au Canada. Dre Bottari a étudié les répercussions des déficits cognitifs, en particulier des fonctions exécutives, sur l’autonomie dans les activités quotidiennes des personnes ayant subi une lésion cérébrale traumatique pendant près de 20 ans. Elle a d'ailleurs obtenu une subvention des Fonds des services aux collectivités du gouvernement du Québec pour étudier les conséquences des commotions cérébrales sur le processus d’autonomisation des femmes victimes de violence conjugale

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Professeure

Département de psychologie et de service social

Université du Québec à Rimouski

Sastal Castro-Zavala

Détentrice d'un Ph. D. en service social de l’Université Laval, Sastal Castro Zavala est professeure régulière dans cette même discipline à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR). Pendant plus de dix ans, elle a travaillé en maison d’hébergement auprès des femmes victimes de violence conjugale. Au cours de ces années, elle a développé une expertise dans l’intervention féministe à l’intersection du statut d’immigration précaire et la violence conjugale. Actuellement, elle s’intéresse à l’application de la perspective féministe intersectionnelle et à l’approche interculturelle dans l’intervention auprès des personnes vivant des oppressions multiples et se trouvant en situation de marginalité et d’exclusion.

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Professeure

Département des sciences juridiques

Université du Québec à Montréal

Rachel Chagnon

Avocate de formation, Rachel Chagnon est professeure au département des sciences juridiques de l’Université du Québec à Montréal depuis 2007 et membre de l’Institut de recherches et d’études féministes de l’Université du Québec à Montréal. Elle se spécialise dans l’analyse féministe de la réponse législative à la violence faite aux femmes ainsi qu’aux inégalités entre les femmes et les hommes. Elle a participé à plusieurs projets de recherche portant, entre autres, sur l’impact de la loi sur l’équité en matière d’emploi sur le travail des femmes, sur la mise en œuvre des principes de non-discrimination dans les médias canadiens et sur la criminalisation de la prostitution. Elle s’intéresse au processus de déjudiciarisation de la violence conjugale au Québec. Elle fait aussi partie d’équipes de recherche pluridisciplinaires travaillant sur les violences sexuelles en milieu universitaire et à l’encontre des femmes migrantes. Avocate de formation, Rachel Chagnon est professeure au département des sciences juridiques de l’Université du Québec à Montréal depuis 2007 et membre de l’Institut de recherches et d’études féministes de l’Université du Québec à Montréal. Elle se spécialise dans l’analyse féministe de la réponse législative à la violence faite aux femmes ainsi qu’aux inégalités entre les femmes et les hommes. Elle a participé à plusieurs projets de recherche portant, entre autres, sur l’impact de la loi sur l’équité en matière d’emploi sur le travail des femmes, sur la mise en œuvre des principes de non-discrimination dans les médias canadiens et sur la criminalisation de la prostitution. Elle s’intéresse au processus de déjudiciarisation de la violence conjugale au Québec. Elle fait aussi partie d’équipes de recherche pluridisciplinaires travaillant sur les violences sexuelles en milieu universitaire et à l’encontre des femmes migrantes.

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Professeure titulaire

Directrice universitaire de Trajetvi et de SAS-Femmes

Université de Montréal

Marie-Marthe Cousineau

Marie-Marthe Cousineau B.Sc. et M.Sc. en criminologie et Ph. D. en sociologie, est professeure à l’École de criminologie de l’Université de Montréal. Au cours des dix dernières années, elle a été la directrice universitaire du Partenariat CRSH de recherches et d’actions Trajetvi (Trajectoire de vie, de violence, de recherche d’aide et de recours aux services des femmes victimes de violence en contextes de vulnérabilité) dont les travaux culminent dans la production des 22 chapitres réunis dans le collectif d’autrices et auteurs : Pratiques et recherches féministes en matière de violence conjugale – Co-construction des connaissances et expertises". Elle est enfin cotitulaire de la Chaire McConnell-UdeM en recherche-création sur la réappropriation de la maternité, lequel vise à libérer la parole et le corps des femmes (https://chairematernite.ca/). Ses champs d’intérêt se regroupent autour des violences faites aux femmes et des réponses sociales et judiciaires à ces violences.

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Professeure titulaire

Titulaire du Laboratoire d'études sur la violence et la sexualité

Directrice des programmes de cycles supérieurs en sexologie

Département de sexologie

Université du Québec

Mylène Fernet

Professeure titulaire au Département de sexologie de l’Université du Québec à Montréal, Mylène Fernet a un Ph.D. en Santé publique. Ses recherches portent sur les violences vécues par les filles et les femmes dans le contexte de leurs relations intimes. Elle participe au développement et à l'évaluation d'initiatives de sensibilisation et de prévention des violences et de promotion de la santé sexuelle.

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Professeure agréée

Département des sciences humaines et sociales

Université du Québec à Chicoutimi

Catherine Flynn

Catherine Flynn, Ph. D. est professeure agrégée au Département des sciences humaines et sociales de l’Université du Québec à Chicoutimi. Elle est responsable scientifique du Pôle violence du Réseau québécois en études féministes (ReQEF), membre de l’équipe SAS-Femmes (Santé, autonomie et sécurité financée par le FRQSC (2020-2024) et chercheure au Centre intersectoriel en santé durable. Ses travaux de recherche portent sur les violences faites aux femmes, sur l’itinérance et le logement. Elle s’intéresse également à l’intervention féministe et à la réalité des femmes dans les régions ressources et manufacturières. 

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Professeure, Faculté des arts

Université du Québec à Montréal

Membre de l’Assemblée des gouverneurs du Réseau de l'UQ

Sylvie Genest

Sylvie Genest est détentrice d’un Ph. D. en anthropologie. En tant qu’artiste, elle détient également plusieurs Prix des Conservatoires de musique du Québec (1978, 1988, 1989), de l’Association québécoise de l’industrie du disque, du spectacle et de la vidéo (Félix 2003, 2005) et du Conseil québécois de la musique (Opus 1998). Sa pratique artistique comme pianiste, compositrice et directrice musicale s’étend sur plus d’une trentaine d’années ; son parcours professionnel est ponctué de collaborations avec des artistes de renom en chanson et en musique traditionnelle. Occupant un poste de professeure à la Faculté des arts de l’UQAM depuis 1997, son approche féministe se réclame des préceptes du constructivisme, de l’ingenium propre à la pensée systémique et de la recherche en décloisonnement disciplinaire. Elle s’intéresse à la communication paradoxale multimodale telle que celle-ci s’exerce dans les œuvres de culture populaire, plus spécifiquement dans les chansons d’amour destinées aux femmes, adolescentes et jeunes filles.

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Guyon, Roxanne

Roxanne Guyon est professeure assistante en sexologie au Département de psychiatrie et neurosciences de la Faculté de médecine depuis juin 2023 et co-dirige également lecertificat en santé sexuelle. Elle est chercheuse régulière au sein de l’Équipe VIolence Sexuelle et SAnté (ÉVISSA).

 

Titulaire d’un baccalauréat et d’une maitrise recherche et intervention en sexologie à l’Université du Québec à Montréal, elle est sur le point d’obtenir son diplôme de doctorat dans la même discipline. Son projet doctoral visait à mieux comprendre le concept de soi sexuel des survivant.e.s d’agression sexuelle à l’enfance, et notamment son rôle dans lesprocessus adaptatifs déployés dans la vie sexuelle à l’âge adulte.

 

À travers son parcours académique, elle a pu acquérir des connaissances et aptitudes tant sur le plan de la recherche, de l’intervention que de l’enseignement. Elle a dispensé plusieurs charges de cours sur différentes thématiques sexologiques, en plus d’avoirtravaillé sur des projets de recherche ayant pour thématiques les violences interpersonnelles et sexuelles mais aussi les relations intimes saines et la sexualité positive chez les jeunes. Finalement, elle cumule sept années d’expérience en tant qu’éducatrice pour les centres jeunesses, en plus d’avoir animé des ateliers d’éducation à la sexualité en milieux scolaires.

 

Sa programmation de recherche vise à approfondir la compréhension des expériences intimes et sexuelles des individus ayant vécu des expériences traumatiques ainsi qu’à développer, implanter et évaluer des initiatives de prévention et d’intervention en matière de violences sexuelles. La professeure souhaite également bonifier les pratiques de prévention, d’éducation et de soutien en matière de violences sexuelles en priorisant une démarche participative et ancrée avec les besoins des milieux de pratique.

Professeure assistante en sexologie au Département de psychiatrie et neurosciences de la Faculté de médecine

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Professeure

Département de psychoéducation

Université du Québec à Trois-rivières

Estibaliz Jimenez

Professeure au département de psychoéducation à l’Université du Québec à Trois-Rivières, Estibaliz Jimenez est une juriste originaire du Pays-Basque (Espagne). Elle a obtenu une maîtrise en criminologie et un doctorat en criminologie avec une double direction en droit à l’Université de Montréal. Toujours intéressée par les études féministes et la recherche interculturelle, elle a axé ses recherches notamment sur la violence faite aux femmes; les violences basées sur l’honneur; les défis d’intervention en contexte d’interculturalité en protection de la jeunesse; le processus d’immigration et les obstacles d’intégration dans le pays d’accueil et la traite des personnes et trafic des migrants. Elle est chercheure régulière à Trajevi (projet sur les trajectoires de recherche d’aide et de recours aux services des femmes victimes de violence en contextes de vulnérabilité), au CICC (Centre international de criminologie comparée) et au LEDIR (Laboratoire éducation et diversité en région de l’Université du Québec à Trois-Rivières). Elle collabore activement à des projets de recherche et elle s’implique auprès des organismes communautaires se préoccupant de la violence faite aux femmes.

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Professeure agréée

Département de sexologie

Université du Québec à Montréal

Sexologue, membre de l’OPSQ

Sylvie Lévesque

Sylvie Lévesque a mené des études en sexologie et détient un PhD en santé publique (promotion de la santé). Elle est professeure agrégée au département de sexologie de l’UQAM, où elle mène des travaux de recherche sur les violences et la santé sexuelle et reproductive. Elle dirige ou a dirigé des projets de recherche en partenariat sur la coercition reproductive (CRSH, Secrétariat à la condition féminine, FRQSC), la violence conjugale en période périnatale (FRQSC-MSSS) et la charge contraceptive (CRSH). Elle est aussi intéressée par les questions liées aux droits reproductifs, aux violences gynécologiques et obstétricales ainsi qu’à l’accès aux soins de santé sexuelle et reproductive. Elle est membre du Réseau québécois en études féministes.

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Professeure agrégée, Université du Québec en Outaouais (campus Saint-Jérôme)

Isabelle Marchand

Isabelle Marchand est professeure en travail social à l’Université du Québec en Outaouais au campus de Saint-Jérôme. Ses champs d’intérêt se regroupent sous trois axes : 1) les politiques du vieillissement, les problématiques de la citoyenneté, de la participation et de l’inclusion sociale des personnes âgées ; 2) les approches d’intervention collective, communautaire, intersectionnelle et féministe; 3) les violences faites aux femmes, notamment la violence conjugale et sexuelle. Elle est membre du Réseau québécois en études féministes (RéQEF), du Centre de recherche de Montréal sur les inégalités et les discriminations (CRÉMIS), du Centre de recherche sur les innovations sociales (CRISES) ainsi que de l’infrastructure partenariale TRAJETVI.

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Coralie Mercerat

Coralie Mercerat (Ph.D/Psy.D) est titulaire d’un doctorat en psychologie communautaire . Elle est présentement professeure substitut en psychologie et santé mentale à l'Université TELUQ. Sa thèse portait sur l’accessibilité des services en périnatalité et petite enfance pour les parents vivant avec des incapacités physiques. Dans le cadre de ses recherches actuelles, elle s’intéresse particulièrement aux liens entre les individus et les institutions de santé, plus spécifiquement dans la transition à la parentalité.

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Professeure titulaire 

Département de psychosociologie et travail social

Université du Québec à Rimouski

Jeanne-Marie Rugira

Jeanne-Marie Rugira est une Québécoise d’origine rwandaise. Elle vit à Rimouski depuis maintenant 28 ans. Elle est professeure-chercheure au Département des Psychosociologie et Travail Social à l’Université du Québec à Rimouski. Docteure en sciences de l’éducation, elle s’intéresse particulièrement aux enjeux éthiques de l’éducation et de l’accompagnement en contexte de violence, de souffrance et d’injustice sociale et épistémique.  Sa pratique de formation, de recherche et d’intervention portent essentiellement sur l’accompagnement des processus de résilience individuelle et collective et se trouve à la croisée du courant des histoires de vie, de l’éducation somatique et des approches réflexives, dialogiques, interculturelles et féministes intersectionnelles. Elle est aussi poétesse et féministe décoloniale et consultante psychosociale dans les organisations et les communautés. Elle est également collaboratrice à l'ÉDIQ - Équipe de recherche en partenariat sur la diversité culturelle et l'immigration dans la région de Québec, Présidente du Réseau Québécois pour la pratique des Histoires de vie (RQPHV), Vice-présidente aux régions à la fédération des femmes du Québec (FFQ), Présidente du CA à la Débrouille (Maison d'hébergement pour femmes et enfants victimes de violences conjugales).

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Professeure titulaire

Faculté des sciences infirmières

 Université de Montréal

Bilkis Vissandjée

Bilkis Vissandjée est professeure titulaire à la Faculté des sciences infirmières. Elle est chercheure à l’Institut universitaire SHERPA, au Réseau de recherche en interventions en sciences infirmières du Québec, ainsi qu’au Centre de recherche en santé publique et au Centre d’études et de recherches internationales de l’Université de Montréal. Ses thèmes de recherche et d’intervention se construisent autour des défis que pose la prestation de soins de qualité selon une perspective tenant compte de l’intersection du genre, de l’appartenance ethnique, des expériences d’immigration et de l’équité. Dre Vissandjée contribue à raffiner des stratégies différenciées de prise en compte des questions relatives à l’équité, la diversité et l’inclusion, entre autres dans le cadre de ses fonctions à titre de présidente au Comité provincial pour la prestation des services de santé et des services sociaux aux personnes issues des communautés ethnoculturelles du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec. Elle contribue également à ce mandat depuis 2020 en tant que membre du Comité consultatif sur les politiques d’équité, de diversité et d’inclusion s’inscrivant dans le Programme des chaires de recherche du Canada. Dre Vissandjée dirige actuellement une subvention d'équipe financée des Instituts de recherche en santé du Canada et de la Commission Européenne visant à mieux comprendre les questions reliées aux violences basées sur le genre, notamment l’excision et l’infibulation et de les circonscrire dans les trajectoires des familles immigrantes avec une perspective genre et justice sociale. Elle est également impliquée, en collaboration avec des partenaires en milieu communautaire, dans diverses activités en ce qui concerne les complexités relatives aux situations de violence conjugale vécues par des femmes en contexte d’immigration en contexte de pandémie liée à la COVID-19 dans la grande région de Montréal. Dre Vissandjée a obtenu plusieurs reconnaissances pour ses travaux, notamment par l’organisation Femmes en santé mondiale Canada, l’ayant nommée sur la liste de 2020 des femmes canadiennes en santé mondiale.

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Chercheuse – chargée du développement scientifique

Institut de recherche sur l’immigration et sur les pratiques interculturelles et inclusives (IRIPII)

Kaisa Vuoristo

Kaisa Vuoristo, titulaire d'un doctorat en sciences politiques de l'Université de Montréal et de l'Université Paris-Saclay, occupe le poste de chercheuse et chargée de développement scientifique à l'Institut de recherche sur l'immigration et sur les pratiques interculturelles et inclusives (IRIPII) au Collège de Maisonneuve. Son travail à l'IRIPII se concentre principalement sur la direction de projets de recherche-action partenariale axés sur l'inclusion des femmes immigrantes et racisées, ainsi que sur les violences à caractère sexuel, en adoptant une approche intersectionnelle.

 

Dans le cadre de ses projets actuels, Kaisa collabore étroitement avec des partenaires issus des milieux communautaires. Ces initiatives ont pour objectif de faciliter l'accès aux ressources pour les femmes qui vivent des situations de violence conjugale, de renforcer le pouvoir d'agir des victimes et de promouvoir la participation citoyenne. Grâce à son engagement et à sa recherche novatrice, Kaisa aspire à créer un impact positif et durable pour les communautés concernées et à contribuer à l'avancement de l'inclusion et de l'égalité dans la société.

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