QUI SOMMES-NOUS ?
Co-chercheur.e.s partenaires des milieux de pratique du Québec
Fédération des maisons d’hébergement pour femmes
Représentée par Mylène Biguaouette


Dans une perspective féministe de lutte contre les violences faites aux femmes, la Fédération regroupe, soutient et représente des maisons d’hébergement dans un but de promotion et de défense des droits des femmes violentées et de leurs enfants.
Détentrice d’un baccalauréat en psychoéducation, Mylène Bigaouette a travaillé pendant plus de sept ans à la lutte contre les violences envers les femmes en Afrique de l’Ouest. Impliquée dans le milieu féministe depuis de nombreuses années, elle a notamment travaillé à la Table de concertation de Laval en condition féminine et œuvre maintenant à la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes (FMHF) depuis 2015. Dans le cadre de ses fonctions de Coordonnatrice liaison et formation à la FMHF, elle est responsable des dossiers liés à l’intégration de l’intervention féministe intersectionnelle dans les maisons d’hébergement et à l’intervention auprès des enfants vivant en contexte de violence conjugale.e. Elle veille également au suivi et collabore à la réalisation des projets de recherche dans lesquels la FMHF est impliquée. Mylène Bigaouette a contribué à différentes publications dont l'ouvrage collectif Les femmes changent la lutte: au coeur du printemps québécois (les éditions du remue-ménage, 2013) qu'elle a co-dirigé.
Centre de documentation sur l'éducation des adultes et la condition féminine

Représentée par Lise Chovino
Dans une perspective de démocratisation des connaissances, de transformation sociale, de reconnaissance du droit à l'information, de valorisation du patrimoine documentaire communautaire canadien et québécois et d'inclusion de toutes et tous dans la société de l’information, le Centre de documentation sur l’éducation des adultes et la condition féminine constitue un carrefour d'échanges et un espace d'expression qui a pour fonction de collecter, de diffuser, de promouvoir et de rendre accessibles, en français, les savoirs et les savoir-faire à tous les milieux de l'éducation, de la formation et de l’alphabétisation des adultes ainsi qu’à tous les milieux de la condition des femmes du Québec et des communautés francophones du Canada.
Lise Chovino met ses nombreux centres d’intérêt à profit dans des projets abordant des thématiques variées en lien avec le numérique. Elle s’implique notamment dans le développement de formations et de projets concernant : la sécurité et confidentialité, l’éthique et la justice numériques, la technopédagogie, l’empowerment technologique des femmes. Elle collabore depuis 2017 avec les maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale afin de créer des formations et outils pratiques sur les enjeux de confidentialité et de sécurité numériques. Son approche : modéliser et mettre en pratique une réponse technologique compréhensive des enjeux vécus en contexte de violence conjugale.

Alliance des maisons de 2e étape pour les femmes et enfants victimes de violence conjugale

Représentée par Gaëlle Fedida
Dans un esprit de concertation, l’Alliance regroupe et représente les maisons d’hébergement de 2e étape qui offrent aux femmes, avec ou sans enfants, des services spécialisés en violence conjugale postséparation par l’entremise de logements transitoires sécuritaires.
Docteure en droit, Gaëlle Fedida a travaillé 18 ans avec Médecins Sans Frontières, puis sur les enjeux sociaux et la défense des droits des personnes ainées, des femmes violentées, l’accès aux médicaments. Elle coordonne depuis 8 ans les dossiers politiques de l’Alliance des maisons de 2e étape pour femmes et enfants victimes de violence conjugale au Québec, réseau de 35 maisons spécialisées en violence conjugale postséparation, en prévention de l’homicide conjugal. Gaëlle co-préside Hébergement Femmes Canada, et préside la Table des regroupements provinciaux et des organismes communautaires bénévoles québécoise.


Réseau des Tables régionales de groupes de femmes du Québec
Représentée par Marie-Andrée Gauthier
Le Réseau des Tables régionales de groupes de femmes du Québec (RTRGFQ) est un regroupement provincial composé des 17 Tables régionales de groupes de femmes au Québec. Il s’agit d’un regroupement féministe de défense collective des droits, qui travaille sur les questions mettant en jeu les intérêts et les droits des femmes. La spécificité du regroupement est représentée par l’expertise régionale développée par les Tables régionales dans les dossiers de la condition féminine. Porte-voix des régions auprès des instances nationales, le RTRGFQ favorise la prise de parole collective des Tables régionales, tout en respectant leurs particularités. Le RTRGFQ et les Tables régionales sont en action depuis plus de cinq ans pour favoriser la participation des femmes à la vie démocratique québécoise.
Marie-Andrée Gauthier a fait ses études universitaires en communication sociale à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Depuis cinq ans, elle coordonne le Réseau des Tables régionales de groupes de femmes du Québec, un lieu de concertation provinciale pour faciliter l’analyse féministe dans chaque région du Québec. Elle détient de nombreuses années de militance au sein du milieu féministe, notamment en prévention des agressions à caractère sexuel et en défense collective des droits des femmes. Elle croit que c’est par la collectivisation des enjeux, les solidarités et l’éducation populaire que nous arriverons à combattre les injustices.


Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale
Représentée par Louise Lafortune
Par sa mission d’éducation, de sensibilisation et de défense de droit, le Regroupement contribue à faire évoluer les lois et les politiques afin de rendre plus adéquates les mesures de protection pour les femmes et enfants victimes de violence conjugale. Dans une perspective de prévention, il déploie un éventail de stratégies pour aider tous les acteurs de la société québécoise à mieux comprendre, dépister et agir en matière de violence conjugale.

Relais-Femmes
Représentée par Josiane Maheu

Relais-femmes est un organisme féministe de liaison et de transfert de connaissances qui fait de la formation, de la recherche et de la concertation. Relais-femmes œuvre à la transformation des rapports sociaux dans une perspective de développement et de diffusion de nouveaux savoirs et de renouvellement des pratiques.
Josiane Maheu détient une maîtrise en géographie humaine de l’Université de Montréal. Elle a été conseillère en égalité entre les femmes et les hommes avec l’organisme SUCO dans le cadre d’un projet d’agroécologie au Nicaragua. Elle a ensuite été conseillère en développement régional à la Conférence régionale des élu.es Lanaudière. Maintenant coordonnatrice de projets pour l’organisme féministe Relais-femmes depuis 5 ans, elle dispense de la formation en Analyse différenciée selon les sexes et intersectionnelle (ADS+), de l’accompagnement, de la recherche, de la concertation et de la liaison dans Trajetvi. Elle contribue à la transformation des rapports sociaux de sexe et d’autres discriminations dans une perspective de renouvellement des pratiques des organisations. Elle est aussi membre du Conseil des Montréalaises.
Alliance des maisons de 2e étape pour les femmes et enfants victimes de violence conjugale

Représentée par Maud Pontel

Dans un esprit de concertation, l’Alliance regroupe et représente les maisons d’hébergement de 2e étape qui offrent aux femmes, avec ou sans enfants, des services spécialisés en violence conjugale postséparation par l’entremise de logements transitoires sécuritaires.
À la suite d’une Licence en Science de l’éducation de l’Université Paris VIII, Maud Pontel immigre au Québec en 2001 pour poursuive ses études de Maîtrise en travail social à l’Université du Québec à Montréal. Son parcours académique et professionnel l’ont amené à travailler auprès des maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale ainsi qu’auprès de plusieurs organismes œuvrant auprès des personnes immigrantes. Elle a notamment été administratrice du conseil d’administration du Bureau de la communauté Haïtienne et a également été membre du Conseil interculturel de Montréal. Elle a coordonnée le département de sensibilisation communautaire du Bouclier d’Athéna Services familiaux pendant 10 ans et a collaboré à de nombreuses campagnes de sensibilisation multilingues sur la violence conjugale et familiale, la violence basée sur l’honneur et les procédures judiciaires, toujours dans une optique de vulgarisation et d’une meilleure accessibilité à l’information et aux ressources. Elle a collaboré à plusieurs recherches et articles portant sur l’intervention auprès des femmes violentées et a formé de nombreux intervenants au cours des 15 dernières années. Elle co-coordonne à présent l’Alliance des maisons d’hébergement de 2e étape pour femmes et enfants victimes de violence conjugale qui œuvre au développement et au soutien des maisons d’hébergement de 2e étape au Québec ainsi qu’au développement des connaissances et des approches d’intervention en violence conjugale postséparation.

Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale

Représentée par Louise Riendeau
Par sa mission d’éducation, de sensibilisation et de défense de droit, le Regroupement contribue à faire évoluer les lois et les politiques afin de rendre plus adéquates les mesures de protection pour les femmes et enfants victimes de violence conjugale. Dans une perspective de prévention, il déploie un éventail de stratégies pour aider tous les acteurs de la société québécoise à mieux comprendre, dépister et agir en matière de violence conjugale.
Diplômée en criminologie à l’Université de Montréal, Louise Riendeau est coresponsable des dossiers politiques au Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence cojugale, depuis 1992. À ce titre, elle a représenté son organisme au Comité conseil du Comité interministériel de coordination en matière de violence conjugale, sexuelle et familiale. Elle a participé activement aux travaux du Comité tripartite femmes et Justice et du Groupe de travail sur les services offerts aux femmes victimes de violence conjugale et à leurs enfants piloté par le Ministère de la Santé et des Services sociaux. Elle est actuellement présidente du Carrefour Sécurité en violence conjugale dont l’objectif est de favoriser la collaboration de plusieurs partenaires communautaires et institutionnels pour améliorer la sécurité des victimes de violence conjugale. Elle siège également au Comité d'examen des décès liés à la violence conjugale qui relève du Bureau du coroner.

L'R des centres de femmes du Québec
Représentée par Stéphanie Vallée

Ce Regroupement a été nommé L’R parce qu’il consiste en une aire (R) pour les centres de femmes, c’est-à-dire un espace qui appartient aux centres. C’est aussi un Réseau dans lequel les centres de femmes se concertent, de sorte qu’arrive l’ère (R) pendant laquelle les femmes auront enfin tout l’air (R) dont elles ont besoin. Donnez-moi de l’oxygène ! comme le dit si bien la chanson de Diane Dufresne. Tout un programme !
Stéphanie Vallée est à la permanence de L’R depuis octobre 2020. Travailleuse de longue date dans quelques centres de femmes de la région de Lanaudière, elle a toujours été proche du regroupement en s’impliquant tantôt au comité vie associative, tantôt sur le Coco ainsi qu’au comité exécutif comme vice-présidente puis comme présidente de L’R. L’approche féministe en intervention en violence faite aux femmes est la pierre angulaire de ses vingt années d’expérience en tant qu’intervenante communautaire dans les centres de femmes. Elle croit fermement que la fin des violences faites aux femmes passera par la complémentarité des services aux femmes victimes de violence, dont les centres de femmes font partie.


Table de concertation de personnes réfugiées et immigrantes
Créée en 1979, la Table de concertation des organismes au service des personnes réfugiées et immigrantes (TCRI) est un regroupement d'une centaine d'organismes œuvrant auprès des personnes réfugiées, immigrantes et sans statut.
Sa mission vise la défense des droits et la protection des personnes réfugiées et immigrantes au Québec dans leur parcours d'immigration, d'établissement et d'intégration en termes de services, d'aide, de soutien, de réflexion critique et de solidarité sur le territoire du Québec.