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QUI SOMMES-NOUS ?

Co-chercheur.e.s partenaires des milieux de pratique du Québec

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Alliance des maisons de 2e étape pour les femmes et enfants victimes de violence conjugale
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Représentée par Maud Pontel

Dans un esprit de concertation, l’Alliance regroupe et représente les maisons d’hébergement de 2e étape  qui offrent aux femmes, avec ou sans enfants, des services spécialisés en violence conjugale postséparation par l’entremise de logements transitoires sécuritaires.

À la suite d’une Licence en Science de l’éducation de l’Université Paris VIII, Maud Pontel immigre au Québec en 2001 pour poursuive ses études de Maîtrise en travail social à l’Université du Québec à Montréal. Son parcours académique et professionnel l’ont amené à travailler auprès des maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale ainsi qu’auprès de plusieurs organismes œuvrant auprès des personnes immigrantes. Elle a notamment été administratrice du conseil d’administration du Bureau de la communauté Haïtienne et a également été membre du Conseil interculturel de Montréal. Elle a coordonnée le département de sensibilisation communautaire du Bouclier d’Athéna Services familiaux pendant 10 ans et a collaboré à de nombreuses campagnes de sensibilisation multilingues sur la violence conjugale et familiale, la violence basée sur l’honneur et les procédures judiciaires, toujours dans une optique de vulgarisation et d’une meilleure accessibilité à l’information et aux ressources. Elle a collaboré à plusieurs recherches et articles portant sur l’intervention auprès des femmes violentées et a formé de nombreux intervenants au cours des 15 dernières années. Elle co-coordonne à présent l’Alliance des maisons d’hébergement de 2e étape pour femmes et enfants victimes de violence conjugale qui œuvre au développement et au soutien des maisons d’hébergement de 2e étape au Québec ainsi qu’au développement des connaissances et des approches d’intervention en violence conjugale postséparation.

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Association québécoise Plaidoyer-Victimes (AQPV)

Représentée par Marie-Christine Michaud

L’Association québécoise Plaidoyer-Victimes (AQPV) a pour mission de défendre et promouvoir les droits et les intérêts collectifs des victimes d’actes criminels en agissant auprès d’elles, de leurs proches, des intervenants et des décideurs par des activités de représentation, d’information, de formation et de mobilisation sociale.

Après une première carrière de plusieurs années dans les communications à titre de productrice de films publicitaires et de recherchiste télé, Marie-Christine Michaud est retournée aux études à l’École de criminologie de l’Université de Montréal où elle obtient un baccalauréat en criminologie, orientation intervention, ainsi qu’un microprogramme de deuxième cycle en intervention criminologique. Passionnée par la victimologie et les communications, elle fait une courte incursion au Service correctionnel du Canada comme agente de libération conditionnelle en communauté et comme agente de liaison et intervenante du CAVAC au sein de la Section des crimes majeurs du SPVM. Elle devient par la suite la porte-parole et coordonnatrice du Réseau des CAVAC pendant près de 5 ans, ce qui l’a amené notamment à informer et sensibiliser la population sur les réalités des personnes victimes lors d’entrevues ou d’émissions, en plus de participer à la rédaction de mémoires qu’elle a présentés avec des collègues lors de Commissions parlementaires. Madame Michaud a par ailleurs siégé sur des comités provinciaux portant sur différents enjeux touchant les personnes victimes comme le Comité d’examen des décès liés à la violence conjugale ou encore, Trajetvi. Depuis 2023, elle poursuit ce qui lui tient à cœur, soit de mettre la lumière sur les besoins, droits et recours des personnes victimes en tant que responsable des communications et de la mobilisation à l’Association québécoise Plaidoyer-Victimes (AQPV).

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Centre de documentation sur l'éducation des adultes et la condition féminine

Représentée par Lise Chovino

Dans une perspective de démocratisation des connaissances, de transformation sociale, de reconnaissance du droit à l'information, de valorisation du patrimoine documentaire communautaire canadien et québécois et d'inclusion de toutes et tous dans la société de l’information, le Centre de documentation sur l’éducation des adultes et la condition féminine constitue un carrefour d'échanges et un espace d'expression qui a pour fonction de collecter, de diffuser, de promouvoir et de rendre accessibles, en français, les savoirs et les savoir-faire à tous les milieux de l'éducation, de la formation et de l’alphabétisation des adultes ainsi qu’à tous les milieux de la condition des femmes du Québec et des communautés francophones du Canada.

 

Lise Chovino met ses nombreux centres d’intérêt à profit dans des projets abordant des thématiques variées en lien avec le numérique. Elle s’implique notamment dans le développement de formations et de projets concernant : la sécurité et confidentialité, l’éthique et la justice numériques, la technopédagogie, l’empowerment technologique des femmes. Elle collabore depuis 2017 avec les maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale afin de créer des formations et outils pratiques sur les enjeux de confidentialité et de sécurité numériques. Son approche : modéliser et mettre en pratique une réponse technologique compréhensive des enjeux vécus en contexte de violence conjugale.

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Ex aequo

Représentée par Janou Radilla

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Fondé en 1980, Ex aequo est un organisme montréalais qui se consacre à la promotion et à la défense des droits des personnes ayant une déficience motrice. Il promeut l’accessibilité universelle comme moyen de rendre possible l’inclusion sociale. La promotion et la défense des droits chez Ex aequo se réalisent par des activités par et pour les membres qui peuvent prendre différentes formes: information, formation, sensibilisation, représentation, concertation, mobilisation et revendication.Ex aequo développe ses dossiers en concertation avec d’autres organismes de personnes ayant des limitations fonctionnelles. De plus, il représente l’ensemble de ces personnes auprès de plusieurs instances publiques. Sur les mobilisations plus larges, Ex aequo s’allie au grand communautaire et aux autres groupes de la société civile afin de porter des revendications au niveau local, régional et provincial.

 

Impliquée dans le milieu communautaire depuis 2013, Janou Radilla s'intéresse aux inégalités sociales dans une perspective structurelle. Depuis le début de l'année 2022, elle porte le dossier des Parents en situation de handicap chez Ex aequo. Dans le cadre de ses fonctions, elle oeuvre à visibiliser les réalités des parents ayant une déficience motrice et à faire valoir leurs droits afin qu'ils puissent exercer leurs rôles sociaux de manière entière. Dans le cadre de ses fonctions, elle travaille sur plusieurs dossiers touchant à l'accessibilité et à la reconnaissance de la sexualité des personnes ayant une déficience motrice. Les violences sexuelles et obstétricales sont une réalité qui touche de près les personnes en situation de handicap.

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Fédération des maisons d’hébergement pour femmes

Représentée par Mylène Biguaouette

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Dans une perspective féministe de lutte contre les violences faites aux femmes, la Fédération regroupe, soutient et représente des maisons d’hébergement dans un but de promotion et de défense des droits des femmes violentées et de leurs enfants.

 

Détentrice d’un baccalauréat en psychoéducation, Mylène Bigaouette a travaillé pendant plus de sept ans à la lutte contre les violences envers les femmes en Afrique de l’Ouest. Impliquée dans le milieu féministe depuis de nombreuses années, elle a notamment travaillé à la Table de concertation de Laval en condition féminine et œuvre maintenant à la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes (FMHF) depuis 2015. Dans le cadre de ses fonctions de Coordonnatrice liaison et formation à la FMHF, elle est responsable des dossiers liés à l’intégration de l’intervention féministe intersectionnelle dans les maisons d’hébergement et à l’intervention auprès des enfants vivant en contexte de violence conjugale.e. Elle veille également au suivi et collabore à la réalisation des projets de recherche dans lesquels la FMHF est impliquée. Mylène Bigaouette a contribué à différentes publications dont l'ouvrage collectif Les femmes changent la lutte: au coeur du printemps québécois (les éditions du remue-ménage, 2013) qu'elle a co-dirigé.

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L'R des centres de femmes du Québec

Représentée par Stéphanie Vallée

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Ce Regroupement a été nommé L’R parce qu’il consiste en une aire (R) pour les centres de femmes, c’est-à-dire un espace qui appartient aux centres. C’est aussi un Réseau dans lequel les centres de femmes se concertent, de sorte qu’arrive l’ère (R) pendant laquelle les femmes auront enfin tout l’air (R) dont elles ont besoin. Donnez-moi de l’oxygène ! comme le dit si bien la chanson de Diane Dufresne. Tout un programme !

 

Stéphanie Vallée est à la permanence de L’R depuis octobre 2020. Travailleuse de longue date dans quelques centres de femmes de la région de Lanaudière, elle a toujours été proche du regroupement en s’impliquant tantôt au comité vie associative, tantôt sur le Coco ainsi qu’au comité exécutif comme vice-présidente puis comme présidente de L’R. L’approche féministe en intervention en violence faite aux femmes est la pierre angulaire de ses vingt années d’expérience en tant qu’intervenante communautaire dans les centres de femmes. Elle croit fermement que la fin des violences faites aux femmes passera par la complémentarité des services aux femmes victimes de violence, dont les centres de femmes font partie.

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Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale
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Représentée par Louise Lafortune

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Regroupement québécois des Centres d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (RQCALACS)

Représentée par Gabrielle Comtois

Le Regroupement québécois des centres d’aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS) est un organisme communautaire féministe qui a pour mission d'offrir une meilleure réponse aux femmes et aux adolescentes agressées sexuellement et de fournir des outils contre la violence sexuelle. Le RQCALACS, qui regroupe une vingtaine de centres à travers le Québec, travaille selon une approche intersectionnelle afin de prendre en compte les différents contextes de vulnérabilités et de construire un mouvement pluriel, représentatif de la diversité des femmes vivant au Québec. Nos trois principaux champs d’action sont la prévention, la mobilisation et la revendication. »

J’espère que cela convient à vos besoins.

Gabrielle occupe le poste de co-coordonnatrice et d'analyse politique pour le RQCALACS (Regroupement québécois des centres d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel). Le RQCALACS un organisme communautaire féministe qui a pour mission d'offrir une meilleure réponse aux femmes et aux adolescentes agressées sexuellement et de fournir des outils contre la violence sexuelle. 

Gabrielle a complété une maîtrise en droit à l'Université Laval en 2019 et un baccalauréat en relations internationales et droit international à l'UQAM en 2016. Ses recherches ont porté sur la diversité sexuelle et la pluralité des genres dans le contexte du droit international pénal. 

En plus de ses recherches, elle a également participé à développer une série de stratégies de plaidoyer et de campagne d'organisation communautaire visant à prévenir la violence sexiste. Elle a notamment contribué au projet de recherche « Justice pour les femmes marginalisées victimes de violences sexospécifiques », mené par l’UQAM. Elle a été largement impliquée dans le dossier des projets pilotes du tribunal spécialisé en matière de violence sexuelle et de violence conjugale. Le ministre de la Justice Simon Jolin-Barrette a d’ailleurs fait appel à son expertise dans le cadre de l’élaboration du projet de loi 12.

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Relais-Femmes

Relais-femmes est un organisme féministe de liaison et de transfert de connaissances qui fait de la formation, de la recherche et de la concertation. Relais-femmes œuvre à la transformation des rapports sociaux dans une perspective de développement et de diffusion de nouveaux savoirs et de renouvellement des pratiques.

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SEP – Service d’Entraide Passerelle

Représentée par Marie Josèphe Pigeon

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Dans une approche féministe de réduction des risques en faveur de l’empowerment  des femmes et des mères vivant une rupture de leur couple, le SEP offre aide et soutien à l’aide de rencontres individuelles, d’informations générales sur le droit familial ainsi que 3 programmes de groupes d’entraide et de soutien (« Mieux vivre ma rupture », « Poursuivre ma route avec mon enfant » et « L’engrenage du contrôle », ce dernier destiné particulièrement aux survivantes de contrôle coercitif . Fondé en 1971 sous le nom de ANO-SEP, le Service d’Entraide Passerelle est un organisme communautaire Famille.

Sherbrookoise de naissance, féministe à l’âge de 15 ans, Marie Josèphe Pigeon a intégré le milieu féministe montréalais en 2011 après plusieurs détours académiques et professionnels.  À la tête du SEP depuis 2013, elle possède la conviction intime de l’utilité de cet organisme pour aider les  femmes, les mères, les survivantes à passer à travers cette transition qu’est la séparation dans une société encore remplie d’inégalités sexistes.  Elle y a développé les 3 programmes d’ateliers qui font la renommée du SEP et continue de rencontrer en individuel quelques centaines de participantes par année.

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