QUI SOMMES-NOUS ?
Collaborateur.trice.s des milieux de la recherche

Professeure adjointe
École de service social
Université Laurentienne
Isabelle Côté
Isabelle Côté, Ph.D., est titulaire d’un doctorat en service social de l’Université de Montréal. Elle est professeure en service social à l’Université Laurentienne à Sudbury où elle enseigne les fondements théoriques de la pratique du travail social. Ses recherches s’inscrivent dans une perspective critique et féministe et portent sur la violence faite aux femmes et aux enfants ainsi que sur l’intervention sociale. Elle est l’une des membres fondatrices du Collectif de recherche FemAnVi, ainsi que l’auteure des livres Les pratiques en maison d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale : 40 ans d’histoire (PUQ, 2018) et Il se prenait pour le roi de la maison! Des enfants parlent de la violence conjugale (Remue-ménage, 2018).

Professeure
Département de psychologie et de service social
Université du Québec à Rimouski
Sastal Castro-Zaval
Détentrice d'un Ph. D. en service social de l’Université Laval, Sastal Castro Zavala est professeure régulière dans cette même discipline à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR). Pendant plus de dix ans, elle a travaillé en maison d’hébergement auprès des femmes victimes de violence conjugale. Au cours de ces années, elle a développé une expertise dans l’intervention féministe à l’intersection du statut d’immigration précaire et la violence conjugale. Actuellement, elle s’intéresse à l’application de la perspective féministe intersectionnelle et à l’approche interculturelle dans l’intervention auprès des personnes vivant des oppressions multiples et se trouvant en situation de marginalité et d’exclusion.

Professeure titulaire
Université du Québec à Chicoutimi
Psychologue
Jacinthe Dion
Jacinthe Dion, Ph. D., psychologue, est professeure titulaire au département des sciences de la santé à l’Université du Québec à Chicoutimi. Elle est cotitulaire de la Chaire de recherche VISAJ sur la vie et la santé des jeunes. Elle est membre du partenariat de recherche et d’actions Trajetvi (CRSH), d’ÉVISSA (Équipe violence sexuelle et santé, FRQSC), en plus d’être chercheure régulière au CRIPCAS (Centre de recherche interdisciplinaire sur les problèmes conjugaux et les agression sexuelles, Regroupement stratégique du FRQSC). Son expertise porte sur l’adaptation et le bien-être psychologique et sexuel des adolescents et des jeunes adultes ayant vécu différents événements de vie adverse comme la violence dans les relations amoureuses et l’agression sexuelle. Elle s’intéresse également à la résilience des peuples autochtones.

Professeure
Département de sociologie
Université du Nouveau-Brunswick
Carmen Gill
Carmen Gill, Ph.D., est professeur au département de sociologie de l’université du Nouveau-Brunswick. Ses recherches portent sur l’intervention de la police dans les cas de violence entre partenaires intimes (VPI), d’homicide conjugal et de traitement des auteurs et des victimes par le système de justice pénale. Elle dirige actuellement un projet de recherche national de trois ans intitulé : Contrôle coercitif, évaluation des risques et preuves de violence entre partenaires intimes: Intervention de la police, en partenariat avec l’Association canadienne des chefs de police (ACCP), le Réseau canadien du savoir policier (RCSP) et l’École nationale de police du Québec.

Professeure adjointe au département de sociologie et de criminologie, Université de Moncton
Madeline Lamboley
Madeline Lamboley est professeure adjointe de criminologie au département de sociologie et de criminologie de l’Université de Moncton. Sa thèse de doctorat a porté sur le mariage forcé de femmes immigrantes au Québec. Les femmes en situation de vulnérabilité, notamment les femmes immigrantes et les femmes vivant avec une coexistence de problématiques et leurs besoins en matière d’intervention, sont au cœur de ses enseignements et de ses recherches. Un intérêt particulier est porté au contexte francophone minoritaire. Ses recherches récentes portent sur la place du réseau social des femmes victimes de violence entre partenaires intimes dans leur processus de sortie de la violence.
Simon Lapierre

Professeur titulaire
École de service social
Université d'Ottawa
Simon Lapierre, PhD, est professeur titulaire à l’École de service social de l’Université d’Ottawa et membre du Collectif de recherche féministe anti-violence (FemAnVi). Détenteur d’un doctorat de l’Université de Warwick en Angleterre, ses travaux se sont penchés sur l’expérience des femmes et des enfants victimes de violence, ainsi que sur les politiques et les pratiques en maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence, en protection de la jeunesse et dans le système de justice. Il est l’auteur de plusieurs articles, rapports et livres, incluant « Il se prenait pour le roi de la maison! » Des enfants parlent de la violence conjugale (Remue-ménage, 2018), Les violences dans la vie des enfants et des adolescents: enjeux méthodologiques, théoriques et sociaux (PUQ, 2016) et Failure to protect : moving beyond gendered responses (Fernwood, 2013). Simon est membre du Comité d’examen des décès dans un contexte de violence conjugale. Il a aussi été membre du Comité d’experts sur l’accompagnement des victimes d’agressions sexuelles et de violence conjugale dans le système de justice, qui a mené à la publication du rapport Rebâtir la confiance (2020).

Coralie Mercerat
Coralie Mercerat (Ph.D/Psy.D) est titulaire d’un doctorat en psychologie communautaire . Elle est présentement professeure substitut en psychologie et santé mentale à l'Université TELUQ. Sa thèse portait sur l’accessibilité des services en périnatalité et petite enfance pour les parents vivant avec des incapacités physiques. Dans le cadre de ses recherches actuelles, elle s’intéresse particulièrement aux liens entre les individus et les institutions de santé, plus spécifiquement dans la transition à la parentalité.
Professeure, Département Sciences humaines, Lettres et Communication,
Téluq

Professeure, département de science politique
Directrice des programmes, Institut de recherches et études féministes
Geneviève Pagé
Geneviève Pagé est professeure de science politique à l’Université du Québec à Montréal. Ses champs d’expertise incluent les théories féministes, les théories politiques, les mouvements sociaux et les pédagogies féministes et anti-oppressives. Elle étudie notamment la création, la transformation, la traduction et l’appropriation d’éléments théoriques entre les groupes féministes, et entre ceux-ci et les espaces universitaires. Elle dirige en ce moment une recherche sur les obstacles à l'accès à la justice pour les femmes marginalisées victimes de violences sexospécifiques. Ses projets actuels portent également sur la justice reproductive, les pédagogies féministes et les parcours de dénonciation des violences à caractère sexuel pour les personnes de la diversité sexuelle et de genre.