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QUI SOMMES-NOUS ?

Collaborateur.trice.s des milieux de la recherche

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Professeure adjointe

École de service social

Université Laurentienne

Isabelle Côté

Isabelle Côté, Ph.D., est titulaire d’un doctorat en service social de l’Université de Montréal. Elle est professeure en service social à l’Université Laurentienne à Sudbury où elle enseigne les fondements théoriques de la pratique du travail social. Ses recherches s’inscrivent dans une perspective critique et féministe et portent sur la violence faite aux femmes et aux enfants ainsi que sur l’intervention sociale. Elle est l’une des membres fondatrices du Collectif de recherche FemAnVi, ainsi que l’auteure des livres Les pratiques en maison d’hébergement pour femmes victimes de violence conjugale : 40 ans d’histoire (PUQ, 2018) et Il se prenait pour le roi de la maison! Des enfants parlent de la violence conjugale (Remue-ménage, 2018).

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Professeure associée

École de travail social

Université de Montréal

Dominique Damant

Dominique Damant Ph. D., est professeure associée à l’École de travail social de l’Université de Montréal et a travaillé comme intervenante, enseignante et chercheure féministe pendant plus de 40 ans, principalement sur les violences faites aux femmes, mais aussi sur une analyse féministe de la violence exercée par des femmes. Elle a codirigé et dirigé le CRIVIFF de 1996 à 205.

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Professeure titulaire

Université du Québec à Chicoutimi

Psychologue

Jacinthe Dion

Jacinthe Dion, Ph. D., psychologue, est professeure titulaire au département des sciences de la santé à l’Université du Québec à Chicoutimi. Elle est cotitulaire de la Chaire de recherche VISAJ sur la vie et la santé des jeunes. Elle est membre du partenariat de recherche et d’actions Trajetvi (CRSH), d’ÉVISSA (Équipe violence sexuelle et santé, FRQSC), en plus d’être chercheure régulière au CRIPCAS (Centre de recherche interdisciplinaire sur les problèmes conjugaux et les agression sexuelles, Regroupement stratégique du FRQSC). Son expertise porte sur l’adaptation et le bien-être psychologique et sexuel des adolescents et des jeunes adultes ayant vécu différents événements de vie adverse comme la violence dans les relations amoureuses et l’agression sexuelle. Elle s’intéresse également à la résilience des peuples autochtones.

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Professeure adjointe

Département de sociologie et de criminologie

Université de Moncton

Kim Dubé

Kim Dubé est professeure adjointe au Département de sociologie et de criminologie à l’Université de Moncton, campus de Moncton. Elle s’intéresse aux différentes formes d’oppressions et de violences fondées sur le genre dont les violences à caractère sexuel, au féminisme intersectionnel, à l’analyse des discours médiatiques ainsi qu’à l’intervention féministe et aux pratiques militantes en milieu communautaire. Ses recherches actuelles portent sur les trajectoires de victimisation de femmes aînées aux prises avec de la violence conjugale ainsi que sur les défis de l’intervention féministe en milieu rural. Elle est titulaire d’un doctorat en service social de l’Université d’Ottawa où sa thèse de doctorat portait sur la représentation des violences à caractère sexuel dans les discours médiatiques canadiens lorsque commises par des athlètes masculins. Militante dans l’âme, elle défend les droits des populations marginalisées, dont : les femmes, les communautés PANDC, les communautés 2LGBTQIA+ et les francophones en contextes minoritaires.

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Professeure

Département de sociologie

Université du Nouveau-Brunswick

Carmen Gill

Carmen Gill, Ph.D., est professeur au département de sociologie de l’université du Nouveau-Brunswick. Ses recherches portent sur l’intervention de la police dans les cas de violence entre partenaires intimes (VPI), d’homicide conjugal et de traitement des auteurs et des victimes par le système de justice pénale. Elle dirige actuellement un projet de recherche national de trois ans intitulé : Contrôle coercitif, évaluation des risques et preuves de violence entre partenaires intimes: Intervention de la police, en partenariat avec l’Association canadienne des chefs de police (ACCP), le Réseau canadien du savoir policier (RCSP) et l’École nationale de police du Québec.

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Professeure adjointe au département de sociologie et de criminologie, Université de Moncton

Madeline Lamboley

Madeline Lamboley est professeure adjointe de criminologie au département de sociologie et de criminologie de l’Université de Moncton. Sa thèse de doctorat a porté sur le mariage forcé de femmes immigrantes au Québec. Les femmes en situation de vulnérabilité, notamment les femmes immigrantes et les femmes vivant avec une coexistence de problématiques et leurs besoins en matière d’intervention, sont au cœur de ses enseignements et de ses recherches. Un intérêt particulier est porté au contexte francophone minoritaire. Ses recherches récentes portent sur la place du réseau social des femmes victimes de violence entre partenaires intimes dans leur processus de sortie de la violence.

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Simon Lapierre
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Professeur titulaire 

École de service social

Université d'Ottawa

Simon Lapierre, PhD, est professeur titulaire à l’École de service social de l’Université d’Ottawa et membre du Collectif de recherche féministe anti-violence (FemAnVi). Détenteur d’un doctorat de l’Université de Warwick en Angleterre, ses travaux se sont penchés sur l’expérience des femmes et des enfants victimes de violence, ainsi que sur les politiques et les pratiques en maisons d’hébergement pour femmes victimes de violence, en protection de la jeunesse et dans le système de justice. Il est l’auteur de plusieurs articles, rapports et livres, incluant « Il se prenait pour le roi de la maison! » Des enfants parlent de la violence conjugale (Remue-ménage, 2018), Les violences dans la vie des enfants et des adolescents: enjeux méthodologiques, théoriques et sociaux (PUQ, 2016) et Failure to protect : moving beyond gendered responses (Fernwood, 2013). Simon est membre du Comité d’examen des décès dans un contexte de violence conjugale. Il a aussi été membre du Comité d’experts sur l’accompagnement des victimes d’agressions sexuelles et de violence conjugale dans le système de justice, qui a mené à la publication du rapport Rebâtir la confiance (2020). 

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Chercheure postdoctorale à l'École de sociologie et de criminologie de l'Université de Moncton

Anne-Marie Nolet

Anne-Marie Nolet est titulaire d’un doctorat en criminologie de l’Université de Montréal et d’un postdoctorat en sociologie et criminologie de l’Université de Moncton. Elle s’intéresse à l’entourage des femmes victimes de violence et aux actions qui peuvent être mise en place afin de créer un contexte relationnel permettant l’autonomisation et l’émancipation des femmes. Sa thèse de doctorat, réalisée sous la supervision de Carlo Morselli et Marie-Marthe Cousineau, portait sur l’autonomie à laquelle les femmes victimes de violence conjugale accèdent (ou non) dans leur contexte relationnel. Par la suite, son projet postdoctoral,  réalisé en partenariat avec l’Alliance des maisons d’hébergement de deuxième étape pour femmes et enfants victimes de violence conjugale, sous la supervision de Madeline Lamboley, consistait à développer, implanter et évaluer un outil d’intervention centré sur le réseau des femmes victimes. Elle travaille actuellement sur différents projets de recherches et d’actions visant à comprendre et intervenir en lien avec l’entourage des femmes victimes de violence conjugale.

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Professeure, département de science politique

Directrice des programmes, Institut de recherches et études féministes

Geneviève Pagé

Geneviève Pagé est professeure de science politique à l’Université du Québec à Montréal. Ses champs d’expertise incluent les théories féministes, les théories politiques, les mouvements sociaux et les pédagogies féministes et anti-oppressives. Elle étudie notamment la création, la transformation, la traduction et l’appropriation d’éléments théoriques entre les groupes féministes, et entre ceux-ci et les espaces universitaires. Elle dirige en ce moment une recherche sur les obstacles à l'accès à la justice pour les femmes marginalisées victimes de violences sexospécifiques. Ses projets actuels portent également sur la justice reproductive, les pédagogies féministes et les parcours de dénonciation des violences à caractère sexuel pour les personnes de la diversité sexuelle et de genre.

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