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QUI SOMMES-NOUS ?

Co-chercheur.e.s universitaires

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Carolina Bottari

A venir

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Rachel Chagnon
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Professeure

Département des sciences juridiques

Université du Québec à Montréal

Avocate de formation, Rachel Chagnon est professeure au département des sciences juridiques de l’Université du Québec à Montréal depuis 2007 et membre de l’Institut de recherches et d’études féministes de l’Université du Québec à Montréal. Elle se spécialise dans l’analyse féministe de la réponse législative à la violence faite aux femmes ainsi qu’aux inégalités entre les femmes et les hommes. Elle a participé à plusieurs projets de recherche portant, entre autres, sur l’impact de la loi sur l’équité en matière d’emploi sur le travail des femmes, sur la mise en œuvre des principes de non-discrimination dans les médias canadiens et sur la criminalisation de la prostitution. Elle s’intéresse au processus de déjudiciarisation de la violence conjugale au Québec. Elle fait aussi partie d’équipes de recherche pluridisciplinaires travaillant sur les violences sexuelles en milieu universitaire et à l’encontre des femmes migrantes. Avocate de formation, Rachel Chagnon est professeure au département des sciences juridiques de l’Université du Québec à Montréal depuis 2007 et membre de l’Institut de recherches et d’études féministes de l’Université du Québec à Montréal. Elle se spécialise dans l’analyse féministe de la réponse législative à la violence faite aux femmes ainsi qu’aux inégalités entre les femmes et les hommes. Elle a participé à plusieurs projets de recherche portant, entre autres, sur l’impact de la loi sur l’équité en matière d’emploi sur le travail des femmes, sur la mise en œuvre des principes de non-discrimination dans les médias canadiens et sur la criminalisation de la prostitution. Elle s’intéresse au processus de déjudiciarisation de la violence conjugale au Québec. Elle fait aussi partie d’équipes de recherche pluridisciplinaires travaillant sur les violences sexuelles en milieu universitaire et à l’encontre des femmes migrantes.

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Professeure titulaire

Directrice universitaire de Trajetvi et de SAS-Femmes

Université de Montréal

Marie-Marthe Cousineau

Marie-Marthe Cousineau B.Sc. et M.Sc. en criminologie et Ph. D. en sociologie, est professeure à l’École de criminologie de l’Université de Montréal. Au cours des dix dernières années, elle a été la directrice universitaire du Partenariat CRSH de recherches et d’actions Trajetvi (Trajectoire de vie, de violence, de recherche d’aide et de recours aux services des femmes victimes de violence en contextes de vulnérabilité) dont les travaux culminent dans la production des 22 chapitres réunis dans le collectif d’autrices et auteurs : Pratiques et recherches féministes en matière de violence conjugale – Co-construction des connaissances et expertises". Elle est enfin cotitulaire de la Chaire McConnell-UdeM en recherche-création sur la réappropriation de la maternité, lequel vise à libérer la parole et le corps des femmes (https://chairematernite.ca/). Ses champs d’intérêt se regroupent autour des violences faites aux femmes et des réponses sociales et judiciaires à ces violences.

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Professeure associée

École de travail social

Université de Montréal

Dominique Damant

Dominique Damant Ph. D., est professeure associée à l’École de travail social de l’Université de Montréal et a travaillé comme intervenante, enseignante et chercheure féministe pendant plus de 40 ans, principalement sur les violences faites aux femmes, mais aussi sur une analyse féministe de la violence exercée par des femmes. Elle a codirigé et dirigé le CRIVIFF de 1996 à 205.

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Professeure titulaire

Titulaire du Laboratoire d'études sur la violence et la sexualité

Directrice des programmes de cycles supérieurs en sexologie

Département de sexologie

Université du Québec

Mylène Fernet

Professeure titulaire au Département de sexologie de l’Université du Québec à Montréal, Mylène Fernet a un Ph.D. en Santé publique. Ses recherches portent sur les violences vécues par les filles et les femmes dans le contexte de leurs relations intimes. Elle participe au développement et à l'évaluation d'initiatives de sensibilisation et de prévention des violences et de promotion de la santé sexuelle.

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Professeure agréée

Département des sciences humaines et sociales

Université du Québec à Chicoutimi

Catherine Flynn

Catherine Flynn, Ph. D. est professeure agrégée au Département des sciences humaines et sociales de l’Université du Québec à Chicoutimi. Elle est responsable scientifique du Pôle violence du Réseau québécois en études féministes (ReQEF), membre de l’équipe SAS-Femmes (Santé, autonomie et sécurité financée par le FRQSC (2020-2024) et chercheure au Centre intersectoriel en santé durable. Ses travaux de recherche portent sur les violences faites aux femmes, sur l’itinérance et le logement. Elle s’intéresse également à l’intervention féministe et à la réalité des femmes dans les régions ressources et manufacturières. 

Sylvie Genest
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Professeure, Faculté des arts

Université du Québec à Montréal

Membre de l’Assemblée des gouverneurs du Réseau de l'UQ

Sylvie Genest est détentrice d’un Ph. D. en anthropologie. En tant qu’artiste, elle détient également plusieurs Prix des Conservatoires de musique du Québec (1978, 1988, 1989), de l’Association québécoise de l’industrie du disque, du spectacle et de la vidéo (Félix 2003, 2005) et du Conseil québécois de la musique (Opus 1998). Sa pratique artistique comme pianiste, compositrice et directrice musicale s’étend sur plus d’une trentaine d’années ; son parcours professionnel est ponctué de collaborations avec des artistes de renom en chanson et en musique traditionnelle. Occupant un poste de professeure à la Faculté des arts de l’UQAM depuis 1997, son approche féministe se réclame des préceptes du constructivisme, de l’ingenium propre à la pensée systémique et de la recherche en décloisonnement disciplinaire. Elle s’intéresse à la communication paradoxale multimodale telle que celle-ci s’exerce dans les œuvres de culture populaire, plus spécifiquement dans les chansons d’amour destinées aux femmes, adolescentes et jeunes filles.

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Professeure

Département de psychoéducation

Université du Québec à Trois-rivières

Estibaliz Jiminez

Professeure au département de psychoéducation à l’Université du Québec à Trois-Rivières, Estibaliz Jimenez est une juriste originaire du Pays-Basque (Espagne). Elle a obtenu une maîtrise en criminologie et un doctorat en criminologie avec une double direction en droit à l’Université de Montréal. Toujours intéressée par les études féministes et la recherche interculturelle, elle a axé ses recherches notamment sur la violence faite aux femmes; les violences basées sur l’honneur; les défis d’intervention en contexte d’interculturalité en protection de la jeunesse; le processus d’immigration et les obstacles d’intégration dans le pays d’accueil et la traite des personnes et trafic des migrants. Elle est chercheure régulière à Trajevi (projet sur les trajectoires de recherche d’aide et de recours aux services des femmes victimes de violence en contextes de vulnérabilité), au CICC (Centre international de criminologie comparée) et au LEDIR (Laboratoire éducation et diversité en région de l’Université du Québec à Trois-Rivières). Elle collabore activement à des projets de recherche et elle s’implique auprès des organismes communautaires se préoccupant de la violence faite aux femmes.

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Professeur titulaire

Département de sciences biologiques

Université de Montréal

François-Joseph Lapointe

François-Joseph Lapointe, biologiste et bioartiste, est Professeur titulaire au Département de sciences biologiques de l’Université de Montréal où il dirige le Laboratoire d’écologie moléculaire et d’évolution. Dans le cadre de ses recherches scientifiques, il a publié plus de 120 articles dans le domaine de la phylogénétique, de la systématique et de la génétique des populations. Dans le cadre sa pratique artistique, il s’inspire des modèles de la biologie moléculaire, de la génétique et des recherches sur le microbiome humain à des fins de créations. Ses œuvres et performances ont été notamment présentées au Musée de la civilisation (Québec), à la Transmediale (Berlin), au New York Hall of Science (NYC), au festival Ars Electronica (Linz), au Medical Museion (Copenhagen), à la Science Gallery (London) ainsi qu’au Centre Pompidou (Paris). Ses projets de recherche et de recherche-création sont financés par le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG), le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH), le Fonds de recherche du Québec – Nature et Technologies (FRQNT) et le Fonds de recherche du Québec – Société et Culture (FRQSC).

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Professeure agréée

Département de sexologie

Université du Québec à Montréal

Sexologue, membre de l’OPSQ

Sylvie Lévesque

Sylvie Lévesque a mené des études en sexologie et détient un PhD en santé publique (promotion de la santé). Elle est professeure agrégée au département de sexologie de l’UQAM, où elle mène des travaux de recherche sur les violences et la santé sexuelle et reproductive. Elle dirige ou a dirigé des projets de recherche en partenariat sur la coercition reproductive (CRSH, Secrétariat à la condition féminine, FRQSC), la violence conjugale en période périnatale (FRQSC-MSSS) et la charge contraceptive (CRSH). Elle est aussi intéressée par les questions liées aux droits reproductifs, aux violences gynécologiques et obstétricales ainsi qu’à l’accès aux soins de santé sexuelle et reproductive. Elle est membre du Réseau québécois en études féministes.

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Professeure agrégée, Université du Québec en Outaouais (campus Saint-Jérôme)

Isabelle Marchand

Isabelle Marchand est professeure en travail social à l’Université du Québec en Outaouais au campus de Saint-Jérôme. Ses champs d’intérêt se regroupent sous trois axes : 1) les politiques du vieillissement, les problématiques de la citoyenneté, de la participation et de l’inclusion sociale des personnes âgées ; 2) les approches d’intervention collective, communautaire, intersectionnelle et féministe; 3) les violences faites aux femmes, notamment la violence conjugale et sexuelle. Elle est membre du Réseau québécois en études féministes (RéQEF), du Centre de recherche de Montréal sur les inégalités et les discriminations (CRÉMIS), du Centre de recherche sur les innovations sociales (CRISES) ainsi que de l’infrastructure partenariale TRAJETVI.

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Professeure titulaire

Programmes de bioéthique

Département de médecine sociale et préventive

École de santé publique de l’Université de Montréal (ESPUM), Université de Montréal

Vardit Ravitsky

Vardit Ravitsky est professeure aux Programmes de bioéthique à l’École de santé publique de l’Université de Montréal et Senior Lecturer on Global Health and Social Medicine à Harvard Medical School. Elle est Présidente de l’Association internationale de bioéthique et Directrice de l’axe Éthique et santé du Centre de recherche en éthique. Elle est Fellow 2020 et Présidente du Comité sur les impacts de la COVID-19 de la Fondation Pierre Elliott Trudeau. Elle est Fellow de l’Académie canadienne des sciences de la santé, membre du Comité permanent de l’éthique des IRSC, et membre du Conseil consultatif de l’Institut de génétique des IRSC. Ses intérêts de recherche concernent les enjeux bioéthiques de la procréation médicalement assistée et de la génétique, de même que les enjeux de justice liés à la sante publique. Ses recherches sont financées par les IRSC, le FRQSC, le CRSH et Génome Canada. Elle a publié plus de 170 articles et commentaires sur des enjeux bioéthiques.

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Professor

Director First People Studies

Concordia University

Catherine Richardson

Dr. Catherine Richardson/Kinewesquao is a therapist, researcher, activist and an author. She is the Director of First Peoples Studies at Concordia University in Montreal and a co-founder of the Centre for Response-Based Practice. Cathy is Métis with Cree, Dene and Gwichin ancestry. She teaches counsellors and social workers and promotes system change and decolonization in all areas of social services. Cathy is a lead researchers for a number of current studies, such as the Quebec Youth Network Chair, the Canadian Domestic Homicide Prevent Initiative With Vulnerable Populations; and documenting promising practices for Indigenous transition house work (FRIDAA). Cathy is the winner of the Canadian Counselling and Psychotherapy Association Indigenous Practice Award in 2019 and she is a co-organizer of the Dignity conferences. She is currently working on three books which should be available in 2020. Cathy was a Green Party candidate in the Quebec provincial election in 2018.

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Professeure titulaire 

Département de psychosociologie et travail social

Université du Québec à Rimouski

Jeanne-Marie Rugira

Jeanne-Marie Rugira est une Québécoise d’origine rwandaise. Elle vit à Rimouski depuis maintenant 28 ans. Elle est professeure-chercheure au Département des Psychosociologie et Travail Social à l’Université du Québec à Rimouski. Docteure en sciences de l’éducation, elle s’intéresse particulièrement aux enjeux éthiques de l’éducation et de l’accompagnement en contexte de violence, de souffrance et d’injustice sociale et épistémique.  Sa pratique de formation, de recherche et d’intervention portent essentiellement sur l’accompagnement des processus de résilience individuelle et collective et se trouve à la croisée du courant des histoires de vie, de l’éducation somatique et des approches réflexives, dialogiques, interculturelles et féministes intersectionnelles. Elle est aussi poétesse et féministe décoloniale et consultante psychosociale dans les organisations et les communautés. Elle est également collaboratrice à l'ÉDIQ - Équipe de recherche en partenariat sur la diversité culturelle et l'immigration dans la région de Québec, Présidente du Réseau Québécois pour la pratique des Histoires de vie (RQPHV), Vice-présidente aux régions à la fédération des femmes du Québec (FFQ), Présidente du CA à la Débrouille (Maison d'hébergement pour femmes et enfants victimes de violences conjugales).

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Bilkis Vissandjée
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Professeure titulaire

Faculté des sciences infirmières

 Université de Montréal

Bilkis Vissandjée est professeure titulaire à la Faculté des sciences infirmières. Elle est chercheure à l’Institut universitaire SHERPA, au Réseau de recherche en interventions en sciences infirmières du Québec, ainsi qu’au Centre de recherche en santé publique et au Centre d’études et de recherches internationales de l’Université de Montréal. Ses thèmes de recherche et d’intervention se construisent autour des défis que pose la prestation de soins de qualité selon une perspective tenant compte de l’intersection du genre, de l’appartenance ethnique, des expériences d’immigration et de l’équité. Dre Vissandjée contribue à raffiner des stratégies différenciées de prise en compte des questions relatives à l’équité, la diversité et l’inclusion, entre autres dans le cadre de ses fonctions à titre de présidente au Comité provincial pour la prestation des services de santé et des services sociaux aux personnes issues des communautés ethnoculturelles du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec. Elle contribue également à ce mandat depuis 2020 en tant que membre du Comité consultatif sur les politiques d’équité, de diversité et d’inclusion s’inscrivant dans le Programme des chaires de recherche du Canada. Dre Vissandjée dirige actuellement une subvention d'équipe financée des Instituts de recherche en santé du Canada et de la Commission Européenne visant à mieux comprendre les questions reliées aux violences basées sur le genre, notamment l’excision et l’infibulation et de les circonscrire dans les trajectoires des familles immigrantes avec une perspective genre et justice sociale. Elle est également impliquée, en collaboration avec des partenaires en milieu communautaire, dans diverses activités en ce qui concerne les complexités relatives aux situations de violence conjugale vécues par des femmes en contexte d’immigration en contexte de pandémie liée à la COVID-19 dans la grande région de Montréal. Dre Vissandjée a obtenu plusieurs reconnaissances pour ses travaux, notamment par l’organisation Femmes en santé mondiale Canada, l’ayant nommée sur la liste de 2020 des femmes canadiennes en santé mondiale.

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